Tunisie Tourisme

"Les orangers" à Hammamet obtient le label d'hôtel jardin

L'établissement hôtelier, 'les Orangers' à Hammamet a obtenu le premier label d'hôtel jardin.

Cette distinction écologique est décernée sur la base de plusieurs critères : un taux d'espace vert par rapport au nombre de lits ( 40 m2 par lit,) la disponibilité d'un parcours de santé, l'option pour des équipements favorisant l'économie d'eau, d'énergie, l'entretien des plages et de leur environnement et enfin, le tri sélectif des ordures.

M Mehdi M'LIKA président de la commission nationale de l'esthétique et de la propreté de l'environnement a déclaré, au cours d'une cérémonie, organisée à cette occasion que cette distinction écologique s'inscrit dans le cadre d'un programme national de labels visant à améliorer le cadre de vie dans tous les domaines.

Au nombre de ces labels, il a cité la ville jardin, l'hôpital jardin et l'école jardin

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Algérie Economie Banques

La banque émiratie Essalam s’installe en Algérie

La banque islamique émiratie Essalam sera opérationnelle en octobre prochain. C’est ce qu’a révélé Hocine Salem El Miza, vice-président du conseil d’administration et président de la commission exécutive à Essalam Algérie, lors d’une conférence de presse tenue hier au siège de la banque, à Dély Ibrahim à Alger.



La banque Essalam vient d’obtenir l’autorisation du Conseil national la monnaie et du crédit le 11 septembre dernier, a-t-il indiqué. « Il ne reste que l’aspect technique pour lancer nos activités », a-t-il ajouté. Pour ce responsable, le choix de s’installer en Algérie n’est pas fortuit, d’autant plus, dit-il, que ce « pays dispose de potentialités énormes et le marché est prometteur. Nous souhaitons que ce sera l’opportunité de lancer d’autres banques dans les autres pays du maghreb ».

Dotée d’un capital de l’ordre de 100 millions de dollars, Essalam Algérie, au-delà des « solutions islamiques », compte se lancer dans l’investissement dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et de l’immobilier. « A chaque fois qu’un secteur offre plus de garanties, nous irons y investir », explique le vice-président du conseil d’administration. Interrogé sur les ambitions du groupe Emaar, groupe émirati d’investissement détenteur de 5% du capital de Essalam Algérie, le conférencier a souligné que « la relation avec Emaar est purement organique ». « Notre démarrage ici en Algérie n’a pas de lien avec les investissements de ce groupe », soutient-il. Par ailleurs, ce même haut responsable a révélé que les retards enregistrés dans le lancement des activités de la banque, prévu initialement pour février dernier, ne sont pas dus à un quelconque problème avec la Banque d’Algérie ou le Conseil de la monnaie et du crédit. « C’est en raison de la non-finalisation du siège de notre banque », a-t-il noté.

Sur un autre chapitre, M. Salem El Miza a relevé que la banque compte ouvrir plusieurs agences dans la capitale avant de « d’étudier la possibilité de le faire sur le territoire national ». Les fonctionnaires de la banque en question, au nombre de 50, sont tous d’origine algérienne, accompagnés par d’éminents experts financiers, a-t-il précisé. D’essence islamique, Essalam Algérie s’appuie, précise l’orateur, sur une institution législative composée essentiellement d’exégètes émiratis et algériens. Pour rappel, le Conseil du crédit et de la monnaie qui relève de la Banque d’Algérie a accordé l’agrément à la banque émiratie Essalam en juin 2006. De nombreux établissements bancaires des pays du Golfe disposent d’antennes locales en Algérie, à l’instar de El Baraka Bank, Golf Algérie, ABC Bank, la Banque des entreprises arabes et la Banque d’habitat et de financement.



Par Hocine Lamriben

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La banque brûle les billets de 200 DA

L’équivalent d’un milliard de dinars serait passé déjà au feu.

La Banque d’Algérie procède depuis quelques jours à la destruction «par le feu» des billets usagés de deux cents dinars (200 DA) qui sont «irrécupérables» Entendre par là, les billets qui ne peuvent absolument pas être «rafraîchis», procédure technique en usage chez nous comme de par le monde, confirme-t-on auprès de la Banque d’Algérie (BA). Cette nouvelle ne peut être que bienvenue au vu des coupures de 200 DA en circulation qui ne ressemblent en rien à des billets de banque tant leur état est lamentable Ils sont sales, déchirés, fripés, délavés...Certains commerçants refusent même de les accepter, au grand dam des consommateurs qui ne savent plus quoi en faire. Les guichets financiers, qu’ils soient bancaires ou postiers, continuent pour leur part à les distribuer aux clients malgré leur état de «décomposition» avancé.

Parallèlement à cette première action de destruction, attendue depuis longtemps par le citoyen, la Banque d’Algérie a commencé à retirer les billets usagés de cette même valeur du marché, a expliqué à L’Expression l’attaché à la communication. Ce dernier, affirme-t-il, ignore le nombre total des billets détruits. Toutefois, croit-on savoir, c’est l’équivalent d’un milliard de dinars qui passe ainsi au «crématoire» Il rappellera cependant que «les billets de 200 DA n’ont pas été changés depuis plus de 10 ans»
De son côté, Algérie Poste aurait déjà commencé à recevoir les nouvelles coupures depuis la semaine dernière pour les introduire dans le circuit des paiements des chèques postaux. Mais, hélas, il nous a été impossible durant toute la matinée d’hier de contacter le chargé de la communication ou un responsable d’Algérie Poste concerné pour en savoir plus, à savoir confirmer ou infirmer cette information d’importance pour le citoyen.

Abdelkrim AMARNI

L'expression 15 / 09 / 08

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Voie ferrée Tlemcen-Maghnia

Appel d'offres pour son renouvellement

L'Agence nationale d'études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif) a lancé un avis d'appel d'offre restreint pour le renouvellement d'une partie de la voie ferrée reliant Tlemcen à Maghnia, apprend-on auprès de cette agence samedi. Il s'agit du renouvellement de voie ballast sur le tronçon reliant les villes de Tlemcen et Maghnia à travers des zones éparses, repartis en deux lots, indique l'Anesrif en sa qualité de maître d'ouvrage délégué. Cet avis d'appel d'offres restreint s'adresse exclusivement aux entreprises ayant des références requises dans les travaux de voie ferrée, précise la même source.

APS 2008

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Ouyahia prône le patriotisme économique



Il faut «éviter un excès de dirigisme et un retour aux anciennes pratiques en vigueur du temps de l’économie dirigée», déclarent les chefs d’entreprise.

L’Algérie veut-elle renouer avec le «patriotisme économique»? On est forcé de le croire à la lumière des dernières déclarations du chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia. «Le gouvernement accorde une grande importance aux entrepreneurs nationaux et fonde sur eux ses espoirs pour la construction d’une économie solide et diversifiée», a admis jeudi le chef de l’Exécutif, à l’issue de l’audience accordée à une délégation de représentants du Forum des chefs d’entreprise (FCE), conduite par Rédha Hamiani. Dans un communiqué transmis par les services de la chefferie du gouvernement, répercuté par l’APS, M.Ouyahia a rappelé le rôle des «entrepreneurs» algériens dans «la construction d’une économie solide et diversifiée dans le cadre de la libéralisation de l’initiative et de l’ouverture sur l’économie mondiale que notre pays a choisie». Il faut rappeler, dans cette optique, les dernières mesures entreprises par le gouvernement à l’égard des investisseurs algériens, et contenues dans la loi de finances complémentaire (LFC) 2008. Lesquelles mesures prévoient la réduction de la pression fiscale et la simplification des procédures en faveur des opérateurs économiques.
En ce sens, il a été décidé de réaménager les modes et niveaux d’imposition en matière d’impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS). Ainsi, le taux de l’IBS est fixé à 19%, pour les activités de production de biens, le bâtiment et les travaux publics ainsi que les activités touristiques. La taxe est fixée à 25% pour les activités de commerce et de services ainsi que pour les activités mixtes lorsque le niveau du chiffre d’affaires réalisé au titre du commerce et des services est de plus de 50% du chiffre d’affaires hors taxes. «Les activités de production, précise la direction générale des finances, sont celles qui consistent en l’extraction, la fabrication, le façonnage ou la transformation de produits à l’exclusion des activités de conditionnement ou de présentation commerciale en vue de la revente.»
Par ailleurs, les dispositions de la LFC 2008 ont supprimé le taux réduit applicable aux bénéfices réinvestis. En outre, dans le cadre des actions engagées en vue de dynamiser l’investissement local, les dispositions de cette loi ont introduit l’obligation pour les entreprises qui bénéficient d’exonérations ou de réductions de l’IBS dans le cadre des dispositifs de soutien à l’investissement, de réinvestir la part des bénéfices correspondant à ces exonérations ou réductions dans un délai de 4 ans à partir de la date de clôture de l’exercice dont les résultats ont été soumis au régime préférentiel.
Mais que pensent les opérateurs économiques algériens quant à ces nouvelles mesures prises par le gouvernement en vue de booster l’économie algérienne? Les entrepreneurs algériens sont catégoriques: «Il faut éviter un excès de dirigisme et un retour aux anciennes pratiques qui étaient en vigueur du temps de l’économie dirigée», selon Rédha Hamaini, président du FCE. Dans un entretien accordé, au début du mois en cours au site du quotidien électronique Toutsurlalgerie.com, M.Hamiani a indiqué: «Nous sommes dans l’attente de connaître, dans le détail, des modifications apportées aux lois sur l’investissement et l’accès au foncier. On veut savoir si ces mesures concernent tous les secteurs d’activité, ou seulement quelques-uns. Dans l’avenir, nous souhaitons être consultés avant les prises de décision pour que les patrons puissent donner leur avis.» Le président du FCE tient ainsi à noter le manque de communication dont font preuve les institutions de l’Etat chargées du dossier des investissements. Une procédure à reconsidérer si l’on veut réellement faire aboutir la nouvelle politique économique entreprise par le gouvernement.

Hakim Kateb
L'Expression
13 Septembre 2008

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L'appel de Ouyahia

Les entrepreneurs nationaux appelés à construire une économie solide et diversifiée
MM. Ouyahia et Hamiani Le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a réitéré aux entrepreneurs nationaux l"'importance que le gouvernement leur accorde et les espoirs que l'Algérie fonde en eux pour la construction d'une économie solide et diversifiée", a indiqué jeudi un communiqué des services du chef du gouvernement. M. Ouyahia a rappelé, lors d'une audience qu'il a accordée à une délégation de représentants du Forum des chefs d'entreprises (FCE) conduite par Rédha Hamiani, le rôle des entrepreneurs nationaux dans "la construction d'une économie solide et diversifiée dans le cadre de la libéralisation de l'initiative et de l'ouverture sur l'économie mondiale que notre pays a choisi", ajoute la même source.

[Aps 12/9/08]

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Algerie Economie

121.000 tonnes de pommes de terre stockées jusqu'à la mi-août

Les quantités de pommes de terre destinées à la consommation, stockées dans le cadre du Système de régulation des produits agricoles de large consommation (Syrpalac), ont atteint 121.000 tonnes au 15 août dernier, a-t-on appris mercredi auprès du ministère de l'Agriculture et de Développement rural. L'opération de stockage de ces quantités entre dans le cadre de la première phase de Syrpalac, mis en place en juillet dernier, a indiqué le chargé de communication du ministère, Djamel Barchiche. En juillet, le ministère tablait sur un stockage de 150.000 tonnes de pommes de terre en août.

Aps 10/9/08

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